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Jean Vasca, 1940-2016

Jean Vasca (photos Jean-Michel Legros)

Jean Vasca (photos Jean-Michel Legros)

Il est mort la nuit dernière, en dormant… Depuis l’annonce des prochaines festivités de Barjac m’en chante, nous étions nombreux à l’attendre, dans ce que l’on savait être son ultime rendez-vous, lui le local de l’étape qui n’avait pas remis les pieds à ce festival, depuis… depuis longtemps. Il en fut pourtant le créateur et s’apprêtait, pour deux séances, à y revenir, discrètement, comme un cadeau, après avoir fait ses adieux discographiques il y a quelques mois, avec Saluts !.

Parler de Vasca, c’est se souvenir d’un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas savoir, d’une esthétique, d’une éthique de la chanson. Chanson d’un texte soigné, d’une infinie poésie, qui, même privé de la musique, existe encore : son intégrale publiée en livre en 2014 (La concordance des chants, autoédition) mériterait amplement de figurer dans La Pléiade.

Vingt-six albums pour plus d’un demi-siècle de chansons. La reconnaissance (Grand prix de l’Académie du Disque pour Célébrations, en 1978, Grand prix de l’Académie du Disque pour De doute et d’envol l’année suivante), puis le silence qui, inexorablement, conduit à l’oubli. Vasca est de cette chanson qui n’intéresse ni les financiers du disque ni désormais les médias, tous incultes.

C’est « une poésie faite chanson » écrivions-nous ici même en 2015, « sans jamais rien abdiquer aux faciles recettes de la chanson, à ses codes, sans racoler. De fait, comme ses copains de la Bande des cinq (Jean-Luc Juvin, Jean-Max Brua, Gilles Elbaz et Jacques Bertin), comme encore Philippe Geoffroy ou Philippe Forcioli, son auditoire fut plus restreint. Depuis un demi-siècle, Jean Vasca chante à qui lui prête l’oreille, creusant inlassablement son sillon, travaillant le verbe, matière brute qu’il cisèle d’une belle gouge, toujours revenant sur l’inquiétude et l’éblouissement d’être, ses thèmes de prédilection s’il en est. Comme un ermite, il s’est réfugié depuis longtemps dans le Gard, dans le canton d’un certain Barjac, temple d’une chanson de parole où la sienne est hélas absente depuis longtemps. »

Avant-dernier survivant de la Bande des cinq (fais gaffe, Jacques !), il nous ramenait à l’époque résolue mais révolue des cabarets, de Mouffetard, des MJC, de l’éducation populaire.

La poésie se meurt dans son sommeil, Vasca est mort. La page est difficile à tourner.

 

Ce que NosEnchanteurs a déjà dit de Jean Vasca, c’est ici.

http://www.dailymotion.com/video/x19hrk

10 Réponses à Jean Vasca, 1940-2016

  1. Cuffi georges 21 décembre 2016 à 15 h 50 min

    Magnifique article, Michel! Merci pour la mémoire de celui qui fut LA personnalité artistique la plus importante de ma vie, en même temps qu’un grand ami à chaque époque de mon existence!

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  2. Catherine Laugier 21 décembre 2016 à 16 h 20 min

    Et de plus Vasca ne sacrifiait jamais au texte la musique ni l’interprétation. En plus d’être un immense poète, c’était un véritable chanteur. J’aurais aimé être de ses amis.

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  3. labeyrie babou 21 décembre 2016 à 21 h 58 min

    Il y a cinq ans , je l’accueillais dans ma maison pour un récital de haute volée .
    Son oeuvre m’habite depuis son premier disque. Un grand monsieur s’en est allé. Merci Jean !

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  4. Philippe Doguin 22 décembre 2016 à 3 h 36 min

    Vivant
    Ami
    Solaire
    Charnel
    Authentique

    Veilleuses du bateau sur l’autre rive
    Nous tiendrons la lampe allumée

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  5. gicquel marc 23 décembre 2016 à 11 h 26 min

    Avec sa sincérité et sa fraternité, Jacques Bertin a écrit une chanson hommage à la bande des cinq, dont lui et Vasca https://www.youtube.com/watch?v=wJoD7x-40RY

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  6. Natasha Bezriche 28 décembre 2016 à 10 h 27 min

    lettre à mon ami Jean Vasca

    « Solstice d’hiver 2016
    Il fait nuit, et un peu lourd dans ma maison calme… Je suis dans ma pièce de travail…
    J’entends le bruit de la ville, les gens qui parlent et qui rient fort par ma fenêtre entrouverte.
    Le sommeil ne vient pas parce que j’ai le cœur chagrin et lourd.
    Je suis un peu fatiguée, je crois, alors je ferme les yeux comme pour j’essayer de retrouver l’image d’un visage et le son d’une voix…
    J’ai reçu cette triste nouvelle, que je pressentais, annoncée un peu comme en secret dans un très court message, quelques mots sur le clavier blanc-bleu de mon ordinateur, de vous, Annie.
    Un chagrin lourd m’envahit et me submerge immédiatement, car cela me fait revivre cette même épreuve : il y a quelque temps déjà avec le départ de mon compagnon Gilles, et le décès de mon père aussi juste en cette fin d’année.
    Alors je pense à tous les proches de Jean, aussitôt, à sa famille – je pense à ceux qu’il laisse et, qu’il aimait c’est évident.
    Je pense au trop plein de vide que sans doute, nous ressentons tous à l’intérieur de nous-mêmes, nous qui sommes là et amis depuis longtemps.
    J’ai connu, il y a bien des années en fait. J’étais toute jeune. Je débutais dans le ‘’métier’’. J’étais tout feu tout flammes ; rien ne me faisait peur. J’étais là guitare au poing, debout avec mes mots, mes musiques et ma voix forte. Mon chant haut, lancé par-delà de tous les grands vents, par-dessus les murs dressés et des barricades. Notre première vraie rencontre dans les années 80 à la Ste Beaume… rassemblés là par Pierre Georges Farrugia, Michel Devy, Paul André Maby et l’ami Bertin et mes rapports avec Jean ont très vite été chaleureux. Il me regardait en souriant très doux .
    Merci à lui pour cette amitié discrète, mais sincère et qui a traversé ces années
    Jean , homme généreux et ouvert. Sensible et attentif aux autres et ça quand on y pense : c’est le début d’une maladie incurable et terrifiante parce que c’est sournois et insidieux et que ça ne vous quitte jamais.
    Je voudrais nous donner, pour lui, pour vous et pour ses ami-e-s, ces quelques mots en signe de tendresse et d’affection profonde, nous qui, au fil des ans, nous côtoyons de près ou de plus loin, dans ce monde, houleux et surprenant…, dans le rythme un peu fou de nos vies et de nos trajectoires respectives- dans ce monde si particulier de la chanson-…. Nos chemins se croisent, se séparent, se retrouvent au hasard des rencontres, des calendriers, des scènes, des festivals , avec amour, avec respect, proche et lointain à la fois, comme pour nous préserver des vents de folie ,qui trop souvent, secouent la vie et le monde même….
    Ce soir, devant mon bureau, protégée par la douce quiétude de ma maison, je me sens malgré tout juste un peu plus vulnérable, et triste aussi…
    Il faudra apprendre à surmonter, encore, cette nouvelle absence, même si je ne l’ai pas côtoyé autant que je l’aurai voulu ( car la vie nous bouscule bien souvent)
    Les amis sont là, présents, attentifs dans l’ombre, vivants, et tout à coup : on réalise que notre univers amical et affectif sera différent, sans ceux que nous avons appréciés… ceux que nous aimons tout simplement …
    Alors tout à coup on sait, qu’on va avoir du mal à vivre avec cette absence, ce nouveau manque encore…
    il nous faudra portant poursuivre le chemin, malgré le difficile que la vie nous impose, ne pas perdre pied…et garder foi en la vie(‘’désespérément , la VIE’’ !).
    Alors je prends un moment ce soir, pour vous écrire à vous Annie, que je ne connais pas et aux amis que j’aime.
    Juste leur dire que je les aime, car on ne se le dit jamais assez….
    La mort, comme la vie a ses saisons ses croissances.
    Nous sommes aujourd’hui dans cet hiver, qui a du mal à ressembler à l’hiver et celui que nous avons côtoyé, apprécié et que nous aimons encore, est à présent, de l’autre côté du monde, là-bas sur une autre rive.
    On peut se laisser dépérir dans le manque…On peut aussi y trouver un surcroît de vie, et je parle d’expérience.
    Je lance au ciel et aux étoiles, ces quelques mots, pour qu’ils soient aidant peut-être, en ces moments de vide, de tristesse, voire de désespérance.
    Peut-être si vous en avez eu le temps, vous lui aurez dit :
    « Je t’aime », et c’était bien ce qu’il fallait dire, pour continuer le voyage, chacun de son côté.
    Cette parole est la plus mystérieuse qui soit, mais c’est sans doute la seule digne d’être louée, pendant des siècles.
    À la prononcer, elle donne toute sa douceur… À la prononcer comme il faut, en silence et dans le secret de cette mort.
    Simplement dire « Je t’aime », car il n’est pas question de mettre cette parole à l’imparfait..
    « Je t’aime », et cette parole reste et restera vive, le temps de la dire, le temps entier d’une vie…pas plus, pas moins non plus.
    Jean est parti dans une pluie d’étoiles, ’’ à pas de loup’ ’et il n’est pas de mots pour dire l’indicible.
    Ça arrive comme ça, d’un coup, même si on s’y attend…
    Un peu comme l’aigle dans la chanson de Barbara. :« Quand soudain, semblant crever le ciel, et venu de nulle part, surgit un aigle noir.» Les ailes de la vie se sont refermées sur cet homme… des ailes si grandes que l’ombre en est venue sur tous ceux qui l’aimaient et pour longtemps…
    Il va falloir à présent réajuster nos vies à son absence, apprendre à regarder le ciel et tous les horizons en y guettant des signes. Et je ne peux m’empêcher de penser aux paroles de ma mère pour mon petit garçon qui avait juste 5 ans, un peu avant qu’elle ne parte elle aussi, là-bas sur l‘autre rive :
    « …Sur l’océan tu sais, quand un bateau s’éloigne et disparaît loin, très loin, dans l’horizon au bout de la mer, toi au bout d’un moment, tu ne le vois plus…. Mais il est toujours là… Il continue son voyage, de l’autre côté de la terre, là-bas dans l’horizon…toi tu ne le vois plus, mais il est toujours là…. Alors c’est un peu pareil ce qui va m’arriver… Tu vois, c’est simple », lui dit-elle… « Et alors c’est pour ça que je ne veux pas que tu pleures… parce que si tu pleures, moi je ne vais pas pouvoir continuer mon voyage tranquillement, si toi tu es triste et chagrin de ton côté. »
    On n’a pas toujours besoin des mots de l’amour pour parler d’amour. On a besoin du grave et du Léger, des larmes et des rires aussi…
    Et je repense à mon enfant goéland, mon garçon Jonathan, qui 2 semaines après la mort de maman a pris le téléphone pour l’appeler…Il appuie sur toutes les touches, puis il écoute gravement. Il se tait… Il écoute encore, et de temps en temps il dit -: « Oui, oui.. ».
    À la fin il raccroche en souriant, alors je lui demande:- « Mais qu’est-ce qu’elle t’a dit grand-mère?. ».
    Il répond: « Elle fait des bisous… elle demande si tout va bien et si je suis allé à la pêche avec papa Gilles, et si on est encore ensemble et aussi si je continue à faire des bêtises avec mon chien. Voilà, c’est tout ».
    Et avec un sourire radieux, il est retourné au doux travail de l’enfance, qui est de vivre, de rire et de jouer…
    Il m’a fallu la lumière de cet enfant, pour comprendre que nous avions peut-être moins à leur parler qu’à les entendre, ceux-là, qui ne sont plus à nos côtés…. Et qu’ils n’avaient finalement qu’une seule chose à nous dire :
    – « Vivez, vivez encore, vivez toujours, vivez de plus en plus. Surtout, ne vous faites pas de
    mal…et ne perdez pas le rire. »
    Je pense à nous tous, à travers la lumière de cette phrase, nous qui ne pouvons aimer personne, sans vouloir automatiquement le prendre à jamais dans notre cœur…, alors que l’être est de donner du cœur à ceux que l’on aime sans jamais les ramener à soi !
    -Je pense à la vie, comme un cadeau à chaque fois renouvelé, dans la chaleur de nos maisons, aux cris de joie de nos enfants.
    -Je pense à jean , à son regard pétillant ,à son sourire si doux, à son engagement auprès de ceux qu’il aimait, à nos rencontres , aux discussions partagées ensemble, à son humour. À cette amitié simple et tranquille qui nous rassemblait, à sa fraternité,, sa tolérance et sa sincérité.
    C’était un homme bon, profondément bon. Un homme de partage. Un bel humain .Un être rare.
    J’ai éprouvé plus qu’une simple amitié courtoise pour cet homme, un respect et estime profondes On s’est croisé , toujours avec beaucoup de gentillesse , certes pas assez souvent, je me dis aujourd’hui , mais quand j’y réfléchis nous étions proches dans l’intervalle de cette distance obligée qui était en place, pudique et discrets sur la vie de chacun, par respect, mais avec amour et avec intelligence, parce que la vie nous bouscule , que le temps nous manque, que la distance est là aussi – et puis le temps avance si vite , la vie aussi et qui nous joue de drôles de tours, qui nous rassemble, puis qui un jour, fait un peu plus s’espacer les chemins…. Je garde au revers de mon cœur, la lettre belle , chaleureuse et encourageante qu’il avait pris soin de m’envoyer à lors de la sortie de mon tout premier disque . Puis d’autres mots de lui, lors de la sortie de mon album «Lumière Noire » autour du répertoire de Ferré. Je garde précieux aussi, le souvenir des quelques scènes que nous avons partagées tous 2… et les petits mots qu’il m’a écrits à chaque commande de ses livres ou de ses CD .
    Ce soir, je pense à tous ceux que nous aimons et qui sont partis (eux aussi pour toujours et à tout jamais), en donnant du cœur à nos vies, et en versant sur nos souvenirs comme un parfum d’enfance et d’éternité.
    Jean en a fini, avec son ouvrage sur cette terre, mais certainement il n’abandonne personne …Il laisse entre nos mains un cadeau immense et merveilleux : ses mots et ses musiques.
    Je continuerai à le chanter à chaque fois avec bonheur. Je tenterai de rester une de ces humbles ‘’veilleuses qui tremblent ‘’ sur cet ‘’arbre plein d’oiseaux’’.
    Tout comme je sais, qu’il n’a pas d’inquiétudes pour ceux qu’il laisse. Le sillon qu’il a tracé sur cette terre est magnifique. Il éclaire nos chemins de vie de façon lumineuse. Alors nous nous continuerons. Nous continuerons à œuvrer pour la vie, AVEC HUMOUR aussi souvent que possible, à œuvrer pour l’amitié et le partage, sans concession.
    Nous continuerons d’avancer dans nos vies tumultueuses, avec maladresse bien souvent, et nous continuerons à traiter l’amour d’égal à égal, sans intermédiaires, avec passion, obstinément.
    Nous continuerons à refaire le monde, et à croire en demain.
    Nous continuerons à nous aimer, parce qu’en fait, seul le cœur de ceux que l’on aime est notre vraie demeure. La mémoire, et le temps feront le tri, des mille et une attache de nos souvenirs d’avec Jean.
    Souvenirs à cueillir et à préserver, comme un don que la mort fait aux vivants.
    …Le son de la voix, la lumière d’un visage… la douceur des regards, les mots et les phrases échangés, son sourire, sa gentillesse, et ce regard si sensible, cette belle énergie doublée d’une douce pseudo- bonhommie… Ses mots, ses musiques, son chant si puissant et doux à la fois. Cette grandeur, cet amour fraternel de l’humain et cette noblesse d’âme qui était la sienne. Tout cela demeurera en moi à jamais .Tous ces souvenirs à garder, à préserver comme un peu d’or et de lumière …Ces couleurs que sa vie laissera dans mes rêves aussi, comme aux premiers matins du monde….
    Merci à la vie, merci d’avoir fait se croiser nos chemins. Oui merci de tout cela…
    Et je vais au-devant des paroles d’une vieille prière :
    « Maintenant et à l’heure de notre mort… »
    Le temps de cette prière, n’est fait que de ces instants: l’instant présent et l’instant de mourir, l’avenir n’est rien encore, le passé n’est rien déjà.
    Il n’y a que l’instant présent, jusqu’à ce que celui-ci coïncide avec celui de notre mort.
    L’AMOUR EST ENCORE LA MEILLEURE FAÇON D’EMPLOYER CET INSTANT…
    Comme une manière de séjourner auprès de ce que la vie a de plus faible et de plus doux…
    Alors il faut se promettre, ensemble, nous qui sommes encore dans ce monde des vivants, de continuer à chérir cette vie, à l’aimer, et à la chanter et à l’enchanter…
    Jean est parti sur l’autre rive, de l’autre côté du monde, mais il ne quitte ni n’abandonne personne. Il est juste parti un peu avant… Et donc, il arrive juste un peu avant nous, à l’obligatoire « Rendez-vous ».
    Alors oui, à plus loin Jean et merci à la vie d’avoir fait se croiser nos chants.
    Merci à toi pour cette amitié profonde et qui a traversé les années, malgré les tourments et les embûches…
    Oui Merci …je suis heureuse, honorée et fière de t’avoir rencontré et connu, ‘’ami, frangin, camarade’’.
    Bon VENT, Jean et à plus loin donc.
    En amitié obstinément et fraternellement.
    Et comme tu me l’as écrit il y très peu de temps : ‘’SALUT’’ !
    Natasha Bezriche-Gastinel »

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  7. Rétrolien Jean Vasca - Amis soyez toujours - LE PERCOLATEUR

  8. Éclaircie 20 janvier 2017 à 16 h 11 min

    J’apprends la triste nouvelle aujourd’hui.
    Merci pour ce bon article.

    Vous évoquez son livre « La concordance des chants ». Savez-vous comment je puis l’obtenir ?

    Jean Vasca un poète qui m’a réconciliée avec la Parole.

    Répondre
    • Michel Kemper 20 janvier 2017 à 21 h 28 min

      Tentez de passer par la page facebook « Vasca (presque) officiel » ou Robert Cuffi (que vous pouvez aussi joindre par sa page facebook perso) vous indiquera la démarche. C’est un ami de Jean Vasca et de sa famille.

      Répondre
      • Éclaircie 23 janvier 2017 à 7 h 40 min

        Merci de votre réponse, je n’ai pas de compte facebook, mais vais me débrouiller pour faire passer ma demande.

        Répondre

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