Michel Fugain « Une belle histoire »
C’est un beau roman, c’est une belle histoire
C’est une romance d’aujourd’hui
Il rentrait chez lui, là-haut vers le brouillard
Elle descendait dans le midi, le midi
Ils se sont trouvés au bord du chemin
Sur l’autoroute des vacances
C’était sans doute un jour de chance
Ils avaient le ciel à portée de main
Un cadeau de la providence
Alors pourquoi penser au lendemain
Michel Fugain
Paroles Pierre Delanoë, Musique Michel Fugain. Extrait de l’album « Michel Fugain et le Big Bazar », 1972
Interprétée en direct le 20 juin 1972 sur le plateau de Cadet Rousselle, émission de Variétés de Guy Lux et Jacqueline Duforest, présentée par Guy Lux et Sophie Darel sur la deuxième chaîne de l’ORTF (qui en comportait deux à l’époque). Document INA.
j etais ado et j entendais cette chanson tous les jours à la radio
je me demande ce que les gens ecouteront dans 50 ans car il n y plus les ‘tubes ‘comme avant quand tout un groupe de chanteurs sortiaient 3 ou 4 fois par ans une chanson qui etait matraqué sur les ondes et qui forcement devenait un tube et qui sont les souvenirs d aujourdhui ..Les programmateurs de radios sont la cause que demain sera sans souvenirs car ils ne diffusent que des vieilles s chansons à 90 ¨% le dernier tube en france c est ‘jeanne’ de voulzy .
Par contre en fermant le yeux pour me souvenir la pochette que vous montrez n est pas la pochette principale celle que l on trouvait dans les Monoprix je pense que c est une deuxieme pochette que vous avez mis mais rien à voir avec l originale .
C’est aussi l’histoire de Viviane et Dominique . Ils se sont séparés depuis, mais Benoît est né à la croisée des chemins …
Cette chanson que je connaissais par cœur dépeint à elle toute seule tellement de souvenirs de mon adolescence qu’elle me donne la chair de poule encore aujourd’hui à chaque fois que je l’entends.
Je me souviens que dans la Dauphine bleu ciel de mon père, sur l’autoroute des vacances qui nous amenait chaque année dans mon pays d’origine, l’Italie, on la chantait à tue-tête avec ma sœur en cassant un peu les oreilles aux autres membres de la famille.
Alors, mon père, au bout de la 20ème version de cette chanson, allumait l’autoradio en soupirant et en nous disant avec son bel accent italien « bon, on va oune pô écouter autrrre tchoze »…
Merci d’avoir une nouvelle fois raviver ce souvenir de bonheur, encore plus poignant dans cette version qui se termine en italien
bravo pour ton joli commentaire Pao
personnellement je l ai tellement entendue que quand je la reentends ca ne me fait rien mais c’ est vrai qu elle a marquer son temps !