Michel Bühler, tendresse et poings serrés
Quarante ans qu’il trimballe ses chansons sans concessions à la marge d’un métier qui, au moins à son sommet, doit au mieux l’ignorer, au pire totalement le mépriser. Ce qui est bien en Bühler, c’est qu’on ne peut l’acheter : les labels diront qu’il n’a aucune valeur marchande, moi je dis qu’il est inestimable. Sans […]
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