Ce livre sur Francesca Solleville : hélas, hélas !
Le premier texte qu’on lit d’un livre est celui de la quatrième de couv’, censé nous mettre dans l’ambiance, nous en donner le la. Là, consternation, trois fautes dans des noms propres : Rémo (Gary) et (Michel) Précastelli perdent chacun leur accent aigu. Et, faute imbécile et impardonnable, les Ogres (de Barback) deviennent les « Orgues ». Qui, […]
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