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Accueil » Articles postés par Michel Kemper(Page 42)

Les Weepers Circus perdus en forêt ?

Les Weepers Circus perdus en forêt ?

Ce n’était sans doute pas leur vocation d’origine mais, que voulez-vous, ils excellent (aussi) en ce domaine : voici le nouveau livre-disque jeune public de nos Weepers Circus. Plus encore, notre quatuor se met ici en scène : Franck George (le fort), Christian Houllé (le pénible), Denis Léonhardt (le naïf) et Alexandre Goulec Bertrand (le craintif) reviennent […]

« Bonheurs en Scènes », autres oiseaux rares…

« Bonheurs en Scènes », autres oiseaux rares…

Il y a peu, la toute jeune association « Bonheurs en Scènes » a présenté, à Saint-Julien-Molin-Molette, les huit artistes et formations qu’elle promeut. Après Tour de bal, Laurence Beaupérin & Michel Avallone et Leonor Bolcatto, Sophie Martin-Hautinguiraut, Laurence Keel & Jonathan Mathis et Flora Hüttl, voici, pour clore ce panorama, Viviane Boris et AnneliSe Roche.   […]

La Marquise : tout va très bien !

La Marquise : tout va très bien !

Sans défrayer l’actualité plus que de raison, La Marquise poursuit son bonhomme de chemin. Mine de rien, le groupe créé et animé par Daniel Ferrat accuse déjà quinze ans de scènes au compteur. Et un répertoire qui toujours s’étoffe d’un tissu sans cesse amélioré. Un artiste homonyme disait qu’il ne chantait pas pour passer le […]

« Bonheurs en Scènes » : drôles de d(r)ames

« Bonheurs en Scènes » : drôles de d(r)ames

Suite (mais pas encore fin) de notre revue d’effectifs de l’Association Bonheurs en Scènes, à l’occasion de ses récentes rencontres à Saint-Julien-Molin-Molette. La prochaine fois, nous vous parlerons de Viviane Boris et AnneliSe Roche.   Sophie Martin-Hautinguiraut, ses chansons pour cailloux On connaît, ou pas, Sophie Martin-Hautinguiraut, pour toujours confinée dans la rubrique « chanson jeune […]

Paddy Moloney [The Chieftains], 1938-2021

Paddy Moloney [The Chieftains], 1938-2021

Même si ce n’est pas vrai, j’ai l’impression que, de tous temps, The Chieftains ont été là, à nos côtés, à nos oreilles, dans les pubs d’Irlande comme dans les plus grandes salles symphoniques. Et sur nos platines. On vient de fêter les cinquante ans du groupe breton Tri Yann, qui a donné le mois […]

David Jisse, l’album du temps d’après

David Jisse, l’album du temps d’après

Il est loin le temps du duo David et Dominique (David Jisse et Dominique Marge), né en 1967 d’une rencontre au bord d’une autoroute et qui, dès l’année suivante remporte un premier concours de la chanson avant d’enregistrer leur premier 45 tours en 1969 chez CBS. Le duo fera sa dernière apparition en 1980, à […]

Guéret, Mazille et l’immeuble qui chante

Guéret, Mazille et l’immeuble qui chante

« Sortez la tête de vos balcons, de vos fenêtres / A la verticale, à l’horizontale, chanter entre voisins, c’est pas banal ! / Marre de France Info, du corona en boucle à la radio / On préfère chanter Les noces de Figaro ou Bella Ciao ». Objectivement, le bâtiment est tout moche. Mais, ici comme ailleurs, la […]

Bonheurs en Scènes : que d’l'amour !

Bonheurs en Scènes : que d’l'amour !

Nous poursuivons la relation du week-end du l’association « Bonheurs en Scènes », les 25 et 26 septembre derniers à Saint-Julien-Molin-Molette. A venir les jours prochains : Viviane Boris, Sophie Martin-Hautinguiraut, Flora Hüttl, AnneliSe Roche, Laurence Kell & Jonathan Mathis.   Laurence Beaupérin et Michel Avallone : non mais dis donc ! « C’est la caresse du matin / L’ombre […]

Les Tit’ Nassels, double tour et bientôt coup double

Les Tit’ Nassels, double tour et bientôt coup double

« Je suis amoureux de l’amour / Des chansons j’en fais tous les jours / Et elles sont plus ou moins ratées / J’espère qu’il y en a une qui vous plaît… » Ah, l’amour, la belle affaire ! Depuis 1998 qu’ils existent, depuis dix albums celui-ci inclus, l’amour est le fond de commerce de Sophie et d’Axl, […]

Tour de Bal : Folamour chez Brassens

Tour de Bal : Folamour chez Brassens

« Bonheurs en Scènes » à Saint-Julien-Molin-Molette, 25 septembre 2021,   Les dragons de vertu n’en prendront pas ombrage, mais il est possible (je crois qu’il est même souhaitable) d’interpréter Brassens autrement que si c’était Brassens. Le brusquer, presque le malmener, le frotter à l’émeri, lui faire rencontrer d’autres artistes, d’autres musiques, d’autres esthétiques, presque les mutualiser. […]

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