Philomène « Les petits cailloux »
Il y a de ces intenses sourires
qu’on ne peut pas mettre à genou
On peut les réfuter, on peut en rire
ils restent en nous un point c’est tout
Comme un dard, comme une fleur d’ortie
qui nous grisent et caressent la joue
C’est dans les yeux de Vladimir
c’est dans ses yeux que je m’échoue
Philomène
Paroles Philomène (Julie de Oliveira), Musique Philomène, F. David et Y. d’Aubigné. Extrait de l’album six titres « Philomène » (2020)
Nouvel extrait de l’album que nous vous présentions récemment.
« Il y avait dans les yeux de Vladimir Horowitz quand il jouait du piano, la même étincelle qu’il y a dans les yeux d’un enfant de 4 ans et demi qui vous montre sa collection de petits cailloux »
Sur cette chanson Philomène a rencontré la harpiste Camille Heim, pour un résultat magique.
Camille joue aussi bien des chansons traditionnelles (Balkans, Russie, Amérique du Sud) avec son père l’accordéoniste François Heim (Duo Heim), de la musique de danse du monde entier avec Dekolaz, du folk-pop-rock avec Léo Danais (Cam &Léo) que de la musique classique ou jazz en solo, au sein de grands orchestres ou en duo avec Marie Graizon à la flûte traversière (Duo Delia) dans le répertoire des musiciens français du XXeme siècle tels Ravel et Debussy, ou espagnols comme De Falla et Albeniz.
Des textes ciselés, portés par une voix apaisante et de très bons musiciens. Beau boulot