Braz Bazar, petit par le duo mais big par le talent !

Jérémie Abt et Bastian Pfefferli, du duo Braz Bazar.

Abraz’ouverts est un spectacle fabuleux qui se situe entre rêverie et drôlerie, entre Prévert et Ionesco, entre Steve Waring et Hugues Le Bars, entre musique contemporaine et orientale. Un peu déjanté, donc, comme les deux protagonistes musiciens, Jérémie Abt et Bastian Pfefferli, du duo Braz Bazar.

Ces deux compères, explique leur site internet, « se rencontrent pendant leurs études au Conservatoire de Rueil-Malmaison, dont la classe de percussion est intimement liée à l’essor du théâtre musical. Ils y feront ensemble la découverte du zarb iranien (tambour perse) qui sera décisive. D’autres expériences communes dans les musiques traditionnelles comme les tablas indiennes ou le gamelan de Bali viennent jalonner leur parcours. »

Le spectacle traite de la maladresse de retrouvailles, quand le temps est passé par là. Le décalage passe par la musique, la gestuelle, la danse et un langage créé pour l’occasion. 

Sur scène, percussions, jeux de voix, chansonnettes, farces musicales se succèdent et les enfants, comme les parents, rient devant ce spectacle hors du commun. La mise en scène est sans artifices et sans frontières entre générations comme entre cultures différentes. Vous pourrez même y emmener les plus petits à partir de 3 ans, dans une version raccourcie à leur intention !

Une création JMFrance en partenariat avec Arts vivants en Vaucluse, Auditorium du Thor, et avec le soutien de la SACEM.

Le spectacle est produit par l’association Arts et Musiques en Provence, menant depuis 2003 une action itinérante culturelle, sociale et pédagogique pour faire vivre toutes les musiques du monde, et s’adressant aussi bien au Jeune Public qu’aux seniors ou à tout public. 

Si vous passez prochainement dans les Bouches-du-Rhône, vous pourrez aller voir ce spectacle à Lambesc le 19 mars (salle Sévigné) et le 2 avril à La-Penne-sur-Huveaune (Espace de l’Huveaune), sinon les 26 et 27 mars à Frouard (54).

Le site de Braz Bazar, c’est ici. 

Un extrait du spectacle