Clémence Savelli « La tendresse »
On peut vivre sans richesse
Presque sans le sou
Des seigneurs et des princesses
Y’en a plus beaucoup
Mais vivre sans tendresse
On ne le pourrait pas
Non, non, non, non
On ne le pourrait pas
Clémence Savelli
Paroles Noël Roux, Musique Hubert Giraud. Original enregistré par Bourvil en 1963 sur l’album Quatre titres « Un air de jeunesse ». Repris en 1973 dans la compilation « Tendre Bourvil ».
Cette chanson a été reprise en 1964 dans l’album « Viens sur la montagne » de Marie Laforêt (ici en concert en 1969) puis chantée par de nombreux artistes, tels Maurane, Jean-Marc Sauvagnargues ou Debout sur le zinc, ici avec les Joyeux urbains.
La version de Clémence Savelli a été enregistrée lors de la soirée du 1er février 2016 au Vingtième Théâtre à Paris avec Jean-Louis Beydon au piano. Cette soirée était ses adieux à la scène, accompagné de nombreux.ses artistes avec lesquels il jouait, relire l’article de Michel Kemper.
Jean-Louis Beydon vient de nous quitter, et nous lui dédions cette Tendresse.
Un mot qui lui convient bien, lui qui n’a eu de cesse ces quelques années depuis ses adieux, de témoigner de son amitié à ses amis, leur manifestant à chaque instant son attention, ne se plaignant jamais, nous informant juste assez pour qu’on sache qu’il était bien parmi nous. « Ses » artistes qu’il a accompagnés, conseillés, pour lesquels il a composé des musiques, et tous ses amis ne l’oublieront pas.
Reposez en Paix, M. Jean-Louis Beydon… La » vraie gentillesse » vous qualifiait bien ! Amitiés musicales, Martine.