Maxime Le Forestier « La maîtresse d’école »
A l’école où nous avons appris l’A B C
La maîtresse avait des méthodes avancées
Comme il fut doux le temps, bien éphémère, hélas
Où cette bonne fée régna sur notre classe
Régna sur notre classe
La maîtresse avait des méthodes avancées
Comme il fut doux le temps, bien éphémère, hélas
Où cette bonne fée régna sur notre classe
Régna sur notre classe
Avant elle, nous étions tous des paresseux
Des lève-nez, des cancres, des crétins crasseux
En travaillant exclusivement que pour nous
Les marchands de bonnets d’âne étaient sur les genoux
Étaient sur les genoux
Des lève-nez, des cancres, des crétins crasseux
En travaillant exclusivement que pour nous
Les marchands de bonnets d’âne étaient sur les genoux
Étaient sur les genoux
Maxime Le Forestier
Paroles et Musique de Georges Brassens. Extrait de l’album « 12 nouvelles de Brassens » (1996).
Selon le baromètre annuel UNSA-Education de 2017, si 93 % des enseignants disent aimer leur métier, ils ne sont plus que 77 % à trouver qu’il a du sens. « Le métier vit une crise d’adaptation, les enseignants ont du mal à définir collectivement le projet qu’ils doivent porter », explique Françoise Lantheaume, directrice du laboratoire de recherche éducation, à l’université Lumière Lyon-II (Le Monde, 4 septembre 2017)
Commentaires récents