Jean Guidoni « Mort à Venise »
Le soleil sur la verrière
Fait des dessins sur ta peau
Derrière les ombres de travers
Bat le coeur d’un jour nouveau
Brisé comme feuille de thé
Tu ris du plateau renversé
Fou, ce cri qui me rend beau,
Gouttes de larmes à ma peau
Suis-je donc mort à Venise
Dans l’orage d’un bordel
Rimmel et masque de mise
Amoureusement cruel
Jean Guidoni
Paroles Jean Guidoni, Musique Pascal Auriat. Extrait de l’album « Tigre de porcelaine » (1987)
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