Watine « A l’ombre des saules »
Devant ce lac immobile, je n’ai aucun mobile
Pour sombrer comme je sombre à l’ombre des saules
Les diamants se portent mal sans les rivières
Et les petits ruisseaux dévalent sous mes paupières
J’étais faite pour toi comme les yeux pour pleurer
Comme une question qui brûle de n’être jamais posée
Fin d’une histoire et je retarde
Le début d’une autre
Combien de fois faudra-t-il encore que je me vautre
Quel est le parcours Que je peux faire sans faute
Watine
Paroles et Musique Catherine Watine. Extrait de l’album « Atalaye » (2015)
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