La chanson en débat ce samedi au Café que faire ? de Veynes
Michel Kemper le week-end passé à Randan, avec Alain Vannaire, de Radio Arvernes, et Rémo Gary (Photo Eric Courtial)
Le printemps est revenu et, sorti de mon hibernation, je suis de nouveau sur les routes. A Veynes, dans les Hautes-Alpes, précisément ce samedi, pour un Café Que Faire ? entièrement consacré à ce qui nous préoccupe ici : « Faire vivre la chanson française. » Ces Café que faire ? sont la petite université populaire de Veynes. Ils mettent la réflexion et l’intelligence en mouvement. Ils lient savoirs et actions. Ces rendez-vous sont construits en deux temps, à 16 h, pour décortiquer au mieux les sujets puis à 20 h 30, pour s’interroger ensemble sur « que faire ? » A la manière d’une conférence, j’y exposerais « Mon journalisme chanson, au plus près des artistes et du public » avant d’effectivement poursuivre la discussion sur les actions à mener.
Ces Cafés Que faires sont organisés par Le Fourmidiable, en partenariat avec le mensuel Regards. Dans ma valise, j’emmène quelques bons livres à dédicacer, dont le Lavilliers bien nommé.
formidiables (petites) fourmidiables…
Réponse : Je confirme, Hervé, et j’y reviens cette semaine sur ce blog. MK
Pour avoir été présent à cette rencontre:
tout d’abord un regret, le manque de fréquentation,
mais au delà de cela quelle plaisir de poser sur la table un morceau de nos tripes et d’échanger, avec quelques autres éviscérés, sur ce sujet:
la conservation de ce patrimoine qui est le notre et pour le quel nous travaillons chaque jour, professionnels ou bénévoles.
Merci Michel, merci Monsieur Kemper (que j’ai découvert à l’occasion de cette soirée) pour le travail posé, pour les coup de gueule opportuns.
Grace à ce petit café du peuple à Veynes, en l’espace d’un an et demi, nous avons rencontré ou découvert Laurent Berger, hervé lapalud, Bernard Joyé et la géniale Nathalie Miravette, Xavier Lacouture, Evelyne Gallet, Remo Gary qui a inauguré le lieu avec Richard Martin, Sarah Olivier, Yéti, Philippe Sérane, et tant d’autres qui ne me reviennent pas à l’esprit.
Que longtemps vivent ces petits lieux qui font vivre « l’autre chanson ».
Jean Michel