Cinq-centième billet aujourd’hui…
Cinq-centième billet aujourd’hui sur NosEnchanteurs : du coup, j’arrose, des fois que le millième soit long à venir… Champagne ! Il n’y a pas deux ans, suite au coup de Jarnac qui vit disparaître Chorus, ce blog apparaissait sur votre écran. Il y est resté même si l’alimenter quasi quotidiennement prend du temps, beaucoup de temps.
Avec actuellement plus de 160 abonnés, avec trois cents connexions par jours (parfois bien plus : 850 à la parution de l’article sur les deux ex-Wriggles de D.U.O !), NosEnchanteurs est désormais repéré dans le milieu chanson dont il est un des espaces de liberté de loin les plus importants. Voilà pour le présent.
Reste l’avenir. Il faut poursuivre et développer ce blog, gagner un plus large lectorat afin qu’il soit plus efficace encore pour la chanson, notamment et surtout pour ces artistes qui manquent cruellement de support médiatique. Car, même si c’est mon bon plaisir de parler ici d’Alain Souchon ou de Jeanne Cherhal, de Clarika ou de Georges Brassens, de titiller l’aqueux Johnny et de chatouiller Carla Bruni (bouquet de fleurs de l’Elysée qui, très accessoirement, est chanteuse), ce blog est aussi et surtout l’espace de ceux qui n’en ont point, tant des visages émergents de la chanson que d’autres qui vivent et exercent depuis longtemps, parfois depuis toujours, à l’écart des projecteurs et des trompettes de la renommée. Sur ceux-là, je ne citerai pas de nom : ils sont trop nombreux.
Il y a certes des choses à améliorer dans ce blog, qui parfois passent par une connaissance de l’outil informatique que je n’ai pas assez. Ça viendra et vous pouvez utilement m’y aider.
Plus encore, que vous soyez vous-même artiste ou professionnel de la scène, organisateur, spectateur, dans tous les cas militant de la chanson, vous pouvez contribuer à la vie de ce blog en y écrivant, si tel est votre bon plaisir. Un coup de cœur, un coup de pouce, la relation d’un concert, d’un festival, un coup de gueule, une thématique, un portfolio… Si ça vous intéresse, contactez-moi : michel.kemper@wanadoo.fr
De façon générale, faites connaître ce blog, relayez-le autant que faire se peut, faites-en un des favoris de vos amis. Même si télés, radios (vous avez entendu ces derniers temps la programmation chanson du Fou du roi ? : mis à part Louis Ville, que des français chantant en anglais…) et programmateurs tendent à prouver le contraire, la chanson d’expression française existe, plus vivante et créative que jamais. Ce blog, modestement, participe à le faire savoir. C’est, à la juste place qui est la sienne, un précieux et désormais indispensable maillon de la chanson. MK
Félicitations Michel pour ce superbe travail. Et bon anniversaire pour Nos enchanteurs et l’enchanteur que vous êtes. Puisque votre crédo est aussi le mien : Découvrir et faire connaître des artistes créatifs émergents et oubliés des grands médias, avez-vous reçu mon message sur Facebook concernant notre festival Poèmélodies ?
Réponse : Oui, je l’ai reçu. Il y a sans doute de quoi faire dans la semaine un papier sur ce festival… A bientôt ! MK
merci pour ce post
JOYEUX ANNIVERSAIRE !!!
Et longue vie encore à « Nos Enchanteurs »
JP
Ps : Très content de voir ma photo de Jean-Michel Piton pour illustrer la rubrique de son cd, que je trouve aussi très bien.
Réponse : Merci JP pour cette photo que j’ai emprunté sans avoir votre contact (je l’ai désormais !) pour vous en demander la permission. Si vous voulez faire un ou des portfolios sur ce blog, libre à vous… MK
Prosit et bravo pour votre blog, espace de liberté chantante en ces temps de consensus mollasson. Je ne valide pas tous vos choix mais qu’importe : vous savez communiquer votre enthousiasme, ce qui à notre époque blasée mérite le respect.
Et encore bravo pour votre bio exemplaire de Lavilliers que je viens de relire avec encore plus d’intérêt que la 1ère fois. Je le répète : vous avez écrit là une sorte de vraie saga balzacienne, miroir passionnant d’une époque, celle des années 60 aux années 80, qui semble hélas révolue (comment imaginer un parcours picaresque à la Nanar en nos jours où les dirlos artistiques ne sont plus des Marsan mais des marchands formatés dans les écoles de commerce ?). Et vous l’avez fait avec empathie et humour, critique sans être acerbe.