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Fais-toi mal, Johnny, fais-toi mal

A notre Johnny, les viticulteurs reconnaissants (photo DR)

Alors là, vin sur vin pour l’aqueu Johnny ! Juré, on a cru notre idole victime d’un complot, aux mains d’un maniaque du bistouri, toubib véreux alors accusé de tous les maux, aux diplômes trouvés dans un paquet de Bonux. Puis aux portes de je ne sais quel paradis, quel enfer, purgatoire au centre duquel se livre un âpre combat d’hommes affairés et d’assureurs suite à cette ultime et onéreuse tournée qui a tourné court. Bah non, c’était pas ça ! L’est simplement bien français notre exilé fiscal, le pote au mari de Carla, si vrai, cirrhose même qu’on le tiendrait pour socialiste. Certes ni le whisky ni la vodka ne sont de chez nous, mais je vous jure que le Pastis l’est, et les grands crus et les champagnes pareils. On savait bien qu’Hallyday ne faisait que boire aux vers des autres, qu’on lui distille même des chansons rien que pour lui, de la vinasse parfois qu’il transforme en nectar, fabuleuse alchimie d’une voix légendaire enivrée de rock n’roll. On ne savait pas qu’il carburait à ce point. L’idole cuve… Et dire que not’ Johnny a échappé de justesse à des obsèques nationales alors qu’il n’appelle finalement que le modeste destin des apéros géants Facebook.

Une réponse à Fais-toi mal, Johnny, fais-toi mal

  1. juliette 28 mai 2010 à 5 h 51 min

    À queu j’aime !!!

    Répondre

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