Tout Steve Waring, petit à petit…
Le hasard fait bizarrement les choses. A peine ai-je convoqué le souvenir de Steve Waring (lire Steve va vite, Arthur lentement) que ma boite aux lettres regorge soudain de CD de ce chanteur. Trois précisément, rééditions de disques depuis des lustres introuvables. Le premier, Steve Waring en concert, est un live sorti en 2000, qui nous permet de retrouver les grands standards de Waring, de La Baleine bleue aux Grenouilles. Que des petites chansons faussement empreintes de naïveté, les cétacés vous le diront mieux que moi. Le second, bilingue, est l’adaptation de chansons pour enfants du folk-singer américain Woody Guthrie, le « Brassens américain », celui qui nous disait que sa guitare tue les fascistes. Le troisième, enfin, nous fredonne nombre de chansons traditionnelles françaises, de celles que, tous mômes, nous chantions dans les cours d’école, pareil qu’avant nous nos parents et leurs parents.
Tout est bonheur, tout fait miel en ces trois galettes. Ces rééditions s’inscrivent dans la (magnifique) collection « Victorie, l’oreille de nos enfants », aux cotés d’autres chefs d’œuvre de la chanson pour mômes.
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